La stratégie de la terreur
Est-ce que le soleil m’a tapé sur le cerveau à moins que ce ne soit la pluie ou est-ce qu’il y a réellement des éléments fondés ?
Soit une situation politique sensible, très sensible. Une tension géopolitique exacerbée par une vue religieuse extrémiste et des différences économiques extrêmes.
Soit une situation économique et financière sensible, très sensible. Une tension géopolitique exacerbée par une vue capitaliste extrémiste et des différences économiques extrêmes.
On ajoute un élément déclencheur : une attaque qui entraîne des milliers de morts, ou une attaque qui entraîne des milliers de faillites. J’ai bien écrit « on ajoute », et non pas « on subit ».
On monopolise les media sur le sujet pour créer un sentiment de peur, de panique afin que la population devienne malléable et suive les « solutions proposées »,
- comme attaquer un pays pas tout blanc tout blanc certes mais innocent dans l’histoire dont il est question (car l’envoi d’une armée dans un pays qui n’est pour rien dans l’histoire est une attaque),
- ou comme envoyer des masses d’argent (dont l’origine je le rappelle sont les impôts payés par vous et moi) pour sauver des banques qui ont joué à la roulette et pour certains dont les dirigeants ont outrageusement profité et pire encore dont des fonds ont mystérieusement disparu sans qu’on trouve un bouc-émissaire.
Je résume :
1- on a une situation fragile (créée depuis des années et dont certains profitent),
2- on crée un élément déclencheur avec de réelles victimes,
3- on propose une « solution » dont le but officiel est de soulager et de défendre les victimes mais dont les réels bénéficiaires sont les institutions, entreprises et personnes qui depuis des années ont créé la situation fragile tout en profitant de cette situation.
On a eu depuis sept ans un exemple terroristo-militaro-politico-économique, on a maintenant un exemple économico-financier qui n’attend qu’un petit rien pour se transformer en événement politique et même peut-être militaire.
A qui profite le crime ?
Dans le premier cas, tout le monde connaît les bénéfices scandaleux de Halliburton, Carlyle et autres compagnies où l’on retrouve des noms comme Cheney, Bush… Et auquel un petit enesse aimerait bien s'associer si ce n'est déjà fait.
Dans le deuxième, est-ce que le succès possible de Barack Obama aux élections présidentielles américaines fait si peur aux mêmes personnages Cheney, Bush et Co qu’il faille créer une situation pour qu’on élise à la place d’Obama, à nouveau un républicain, laissant en place le même extrêmisme financier ?
Troublant, très troublant, non?
Soit une situation politique sensible, très sensible. Une tension géopolitique exacerbée par une vue religieuse extrémiste et des différences économiques extrêmes.
Soit une situation économique et financière sensible, très sensible. Une tension géopolitique exacerbée par une vue capitaliste extrémiste et des différences économiques extrêmes.
On ajoute un élément déclencheur : une attaque qui entraîne des milliers de morts, ou une attaque qui entraîne des milliers de faillites. J’ai bien écrit « on ajoute », et non pas « on subit ».
On monopolise les media sur le sujet pour créer un sentiment de peur, de panique afin que la population devienne malléable et suive les « solutions proposées »,
- comme attaquer un pays pas tout blanc tout blanc certes mais innocent dans l’histoire dont il est question (car l’envoi d’une armée dans un pays qui n’est pour rien dans l’histoire est une attaque),
- ou comme envoyer des masses d’argent (dont l’origine je le rappelle sont les impôts payés par vous et moi) pour sauver des banques qui ont joué à la roulette et pour certains dont les dirigeants ont outrageusement profité et pire encore dont des fonds ont mystérieusement disparu sans qu’on trouve un bouc-émissaire.
Je résume :
1- on a une situation fragile (créée depuis des années et dont certains profitent),
2- on crée un élément déclencheur avec de réelles victimes,
3- on propose une « solution » dont le but officiel est de soulager et de défendre les victimes mais dont les réels bénéficiaires sont les institutions, entreprises et personnes qui depuis des années ont créé la situation fragile tout en profitant de cette situation.
On a eu depuis sept ans un exemple terroristo-militaro-politico-économique, on a maintenant un exemple économico-financier qui n’attend qu’un petit rien pour se transformer en événement politique et même peut-être militaire.
A qui profite le crime ?
Dans le premier cas, tout le monde connaît les bénéfices scandaleux de Halliburton, Carlyle et autres compagnies où l’on retrouve des noms comme Cheney, Bush… Et auquel un petit enesse aimerait bien s'associer si ce n'est déjà fait.
Dans le deuxième, est-ce que le succès possible de Barack Obama aux élections présidentielles américaines fait si peur aux mêmes personnages Cheney, Bush et Co qu’il faille créer une situation pour qu’on élise à la place d’Obama, à nouveau un républicain, laissant en place le même extrêmisme financier ?
Troublant, très troublant, non?